Saint-Guilhem-le-Désert ou Sant Guilhèm dau Desèrt en languedocien est une commune située dans le département de l’Hérault en région Occitanie, France.
Ses habitants sont appelés les Sauta Ròcs (les Saute Rochers).
Le bourg entre dans le classement de l’association « Les plus beaux villages de France ».
La commune est située aux confins du Massif central, dans la moyenne vallée de l’Hérault, au nord du département du même nom.
Le territoire de la commune se trouve dans une zone intramontagnarde formée par le prolongement de la montagne de la Séranne et de la montagne de la Cellette à quelques kilomètres des Garrigues de la plaine du Languedoc. Il est arrosé par l’Hérault et par le Verdus.
Le bourg, qui a conservé un aspect médiéval, est fortement investi par le commerce lié à l’activité touristique.
Les écarts
Le territoire de la commune de Saint-Guilhem représente près de 40 km2. Ce territoire est traversé par deux routes départementales la D122 et DN°4. On arrive grâce à ces petites routes aux hameaux des Lavagnes, de l’Estagnol, au mas de Faissas, de Tourreau, de Lapourdoux d’Agre de l’Arbousier. Seule la maison forestière des Plos est habitée.
Chemins et activités
De nombreux chemins, pistes DFCI et sentiers sillonnent cet ensemble physique qui part des gorges de l’Hérault pour atteindre la montagne de la Séranne. Cette zone karstique abritent de nombreuses grottes et avens. Le chemin de Saint-Jacques traverse les monts de Saint-Guilhem par le GR653. L’ensemble du massif est classé Natura 2000.
On pratique toute l’année la randonnée pédestre, la spéléologie, et surtout le canoé-kayak en amont du village route de Ganges, 2 km avant d’arriver au village de Saint-Guilhem, de mai à septembre.
Le VTT n’est autorisé que sur les pistes DFCI (interdiction sur les sentiers mono-trace).
Le toponyme « dau Desèrt» date de l’époque où le terroir était dévégétalisé par les pratiques d’élevage des trop nombreux habitants du bourg. Toute forme de végétation avait un emploi pour l’alimentation du bétail ou le chauffage. Ces pratiques paysannes de subsistance ont duré jusqu’au début du xxe siècle, puis la déprise agricole intervint du fait de l’exode rural, laissant la végétation pousser à nouveau alentours.
En 804, le comte de Toulouse et duc d’Aquitaine Guillaume (Guilhèm en langue d’oc) fonde une abbaye dans un lieu de la vallée de l’Hérault alors à l’écart de toute présence humaine, un « désert », le vallon de Gellone. L’abbaye est appelée abbaye de Gellone, ou, après son décès en 812, abbaye de Guillaume, et devient l’abbaye de Saint-Guilhem après sa canonisation en 1066.
La relique d’un morceau de la vraie croix attire la dévotion de nombreux pèlerins et l’abbaye devient une étape très importante de pèlerinage. Une agglomération se développe autour de l’abbaye.
Au Moyen Âge, l’abbaye se trouve sur le territoire du diocèse de Lodève alors que l’abbaye d’Aniane, toute proche, fondée vers 782 par un proche de Guillaume, relève du diocèse de Maguelone.
Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Verdus-le-Désert.
Ce village a été classé le deuxième Village préféré des Français en 2012 parmi les 21 autres villages présents dans la compétition.
Ses habitants sont appelés les Sauta Ròcs (les Saute Rochers).
Le bourg entre dans le classement de l’association « Les plus beaux villages de France ».
La commune est située aux confins du Massif central, dans la moyenne vallée de l’Hérault, au nord du département du même nom.
Le territoire de la commune se trouve dans une zone intramontagnarde formée par le prolongement de la montagne de la Séranne et de la montagne de la Cellette à quelques kilomètres des Garrigues de la plaine du Languedoc. Il est arrosé par l’Hérault et par le Verdus.
Le bourg, qui a conservé un aspect médiéval, est fortement investi par le commerce lié à l’activité touristique.
Les écarts
Le territoire de la commune de Saint-Guilhem représente près de 40 km2. Ce territoire est traversé par deux routes départementales la D122 et DN°4. On arrive grâce à ces petites routes aux hameaux des Lavagnes, de l’Estagnol, au mas de Faissas, de Tourreau, de Lapourdoux d’Agre de l’Arbousier. Seule la maison forestière des Plos est habitée.
Chemins et activités
De nombreux chemins, pistes DFCI et sentiers sillonnent cet ensemble physique qui part des gorges de l’Hérault pour atteindre la montagne de la Séranne. Cette zone karstique abritent de nombreuses grottes et avens. Le chemin de Saint-Jacques traverse les monts de Saint-Guilhem par le GR653. L’ensemble du massif est classé Natura 2000.
On pratique toute l’année la randonnée pédestre, la spéléologie, et surtout le canoé-kayak en amont du village route de Ganges, 2 km avant d’arriver au village de Saint-Guilhem, de mai à septembre.
Le VTT n’est autorisé que sur les pistes DFCI (interdiction sur les sentiers mono-trace).
Le toponyme « dau Desèrt» date de l’époque où le terroir était dévégétalisé par les pratiques d’élevage des trop nombreux habitants du bourg. Toute forme de végétation avait un emploi pour l’alimentation du bétail ou le chauffage. Ces pratiques paysannes de subsistance ont duré jusqu’au début du xxe siècle, puis la déprise agricole intervint du fait de l’exode rural, laissant la végétation pousser à nouveau alentours.
En 804, le comte de Toulouse et duc d’Aquitaine Guillaume (Guilhèm en langue d’oc) fonde une abbaye dans un lieu de la vallée de l’Hérault alors à l’écart de toute présence humaine, un « désert », le vallon de Gellone. L’abbaye est appelée abbaye de Gellone, ou, après son décès en 812, abbaye de Guillaume, et devient l’abbaye de Saint-Guilhem après sa canonisation en 1066.
La relique d’un morceau de la vraie croix attire la dévotion de nombreux pèlerins et l’abbaye devient une étape très importante de pèlerinage. Une agglomération se développe autour de l’abbaye.
Au Moyen Âge, l’abbaye se trouve sur le territoire du diocèse de Lodève alors que l’abbaye d’Aniane, toute proche, fondée vers 782 par un proche de Guillaume, relève du diocèse de Maguelone.
Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Verdus-le-Désert.
Ce village a été classé le deuxième Village préféré des Français en 2012 parmi les 21 autres villages présents dans la compétition.
Saint-Guilhem-le-Désert or Sant Guilhèm dau Desèrt in languedocien is a town located in the Hérault department in Occitania region, France.
Its inhabitants are called Sauta Ròcs (Saute Rochers).
The village enters the classification of the association « The most beautiful villages of France ».
The commune is located on the border of the Massif central, in the middle valley of the Hérault, north of the department of the same name.
The territory of the commune is located in an intramontagnarde area formed by the extension of the mountain of the Séranne and the mountain of Cellette a few kilometers from the Garrigues of the plain of Languedoc. It is watered by the Hérault and the Verdus.
The village, which has retained a medieval aspect, is heavily invested by the trade linked to the tourist activity.
Differences
The territory of the commune of Saint-Guilhem represents nearly 40 km2. This territory is crossed by two departmental roads D122 and DN4. One arrives thanks to these small roads to the hamlets of the Lavagnes, the Estagnol, the farmhouse of Faissas, Tourreau, Lapourdoux d’Agre de l’Arbousier. Only the forest house of the Plos is inhabited.
Paths and activities
Many paths, trails DFCI and trails criss-cross this physical ensemble which leaves from the gorges of Hérault to reach the mountain of Séranne. This karstic zone shelters numerous caves and avens. The route of Saint-Jacques crosses the mountains of Saint-Guilhem by the GR653. The entire massif is classified as Natura 2000.
All year round, you can hike, speleology and above all canoeing upstream of the village road of Ganges, 2 km before arriving at the village of Saint-Guilhem, from May to September.
ATVs are only permitted on DFCI trails (single track trails prohibited).
The toponym « dau Desèrt » dates from the time when the terroir was devégétalised by the practices of breeding of the too many inhabitants of the borough. Any form of vegetation had a use for cattle feeding or heating. These subsistence peasant practices lasted until the beginning of the twentieth century, then agricultural degradation intervened because of the rural exodus, leaving the vegetation to grow again around.
In 804, the count of Toulouse and duke of Aquitaine Guillaume (Guilhem in the language of oc) founds an abbey in a place of the valley of the Herault then away from all human presence, a « desert », the Valley of Gellone. The abbey is called the abbey of Gellone, or, after its death in 812, abbey of Guillaume, and becomes the abbey of Saint-Guilhem after its canonization in 1066.
The relic of a piece of the true cross attracts the devotion of many pilgrims and the abbey becomes a very important step of pilgrimage. An agglomeration develops around the abbey.
In the Middle Ages, the abbey is located on the territory of the diocese of Lodève, while the nearby Aniane abbey founded around 782 by a close relation of Guillaume belongs to the diocese of Maguelone.
During the French Revolution, the commune provisionally bears the name of Verdus-the-Desert.
This village was ranked second favorite village of the French in 2012 among the 21 other villages present in the competition.
Its inhabitants are called Sauta Ròcs (Saute Rochers).
The village enters the classification of the association « The most beautiful villages of France ».
The commune is located on the border of the Massif central, in the middle valley of the Hérault, north of the department of the same name.
The territory of the commune is located in an intramontagnarde area formed by the extension of the mountain of the Séranne and the mountain of Cellette a few kilometers from the Garrigues of the plain of Languedoc. It is watered by the Hérault and the Verdus.
The village, which has retained a medieval aspect, is heavily invested by the trade linked to the tourist activity.
Differences
The territory of the commune of Saint-Guilhem represents nearly 40 km2. This territory is crossed by two departmental roads D122 and DN4. One arrives thanks to these small roads to the hamlets of the Lavagnes, the Estagnol, the farmhouse of Faissas, Tourreau, Lapourdoux d’Agre de l’Arbousier. Only the forest house of the Plos is inhabited.
Paths and activities
Many paths, trails DFCI and trails criss-cross this physical ensemble which leaves from the gorges of Hérault to reach the mountain of Séranne. This karstic zone shelters numerous caves and avens. The route of Saint-Jacques crosses the mountains of Saint-Guilhem by the GR653. The entire massif is classified as Natura 2000.
All year round, you can hike, speleology and above all canoeing upstream of the village road of Ganges, 2 km before arriving at the village of Saint-Guilhem, from May to September.
ATVs are only permitted on DFCI trails (single track trails prohibited).
The toponym « dau Desèrt » dates from the time when the terroir was devégétalised by the practices of breeding of the too many inhabitants of the borough. Any form of vegetation had a use for cattle feeding or heating. These subsistence peasant practices lasted until the beginning of the twentieth century, then agricultural degradation intervened because of the rural exodus, leaving the vegetation to grow again around.
In 804, the count of Toulouse and duke of Aquitaine Guillaume (Guilhem in the language of oc) founds an abbey in a place of the valley of the Herault then away from all human presence, a « desert », the Valley of Gellone. The abbey is called the abbey of Gellone, or, after its death in 812, abbey of Guillaume, and becomes the abbey of Saint-Guilhem after its canonization in 1066.
The relic of a piece of the true cross attracts the devotion of many pilgrims and the abbey becomes a very important step of pilgrimage. An agglomeration develops around the abbey.
In the Middle Ages, the abbey is located on the territory of the diocese of Lodève, while the nearby Aniane abbey founded around 782 by a close relation of Guillaume belongs to the diocese of Maguelone.
During the French Revolution, the commune provisionally bears the name of Verdus-the-Desert.
This village was ranked second favorite village of the French in 2012 among the 21 other villages present in the competition.
Wonderful images.